Mcdan la plume

 - Non je ne la connais pas ! Lui répondis-je. À cette réponse, l'homme s'enflamma de clolère et sécoua son bâton. Je fus précipitée dans un grand tourbillon puis boum... Nous sommes le 14 janvier 2000. Une année qui débuta mal pour moi, car quelque chose tramait dans mon ventre. Le responsable de la grossesse avait pris fuite et je resolvai de me la faire enlever. Ce jour là, j'allai auprès du tradi-praticien du quartier et cela nous avait pris toute la journée. C'est le soir à 16 heures précise que je venais de mettre fin à cette fichue grossesse. Personne ne le savait sauf l'auteur de l'opération. Je rentrai calemement à la maison, quand soudain j'entendis quelqu'un m'appeler : - Suzanne ! Suzanne ! La voix provenait de derrière, alors en me retournant pour voir, une très forte lumière me frappa les yeux et le grand tourbillon m'emporta une fois de plus pour me faire retourner cette fois dans la grotte. Et me revoilà encore en face de cet homm...

 Le ciel de l'endroit où je me trouvais était pâle. J'apperçu quelques fleurs de couleur jaune vers l'horizon. À qui m'adresser pour savoir où j'étais ? Personne, ni même une mouche. J'étais toute seule et misérable. Alors pour ne pas rester là sans trouver de solution, je me suis mise à marcher. Marcher jusqu'à ce que je vois un mouvement. J'ai dis au fond de moi <<Qui peut me réveiller de ce cauchemar ?>> Je ne me sentais plus bien et j'avais peur.  J'ai marché pendant longtemps sans ressentir la moindre fatigue. C'était vraiment une énergie surhumaine que j'avais. Après ce long chemin, j'ai commencé à déceler une silhouette à à peu près cinquante mètres devant moi. Alors j'ai couru vers cette personne et voilà enfin c'était réel. C'était un homme grand de taille qui se tenait debout mais qui on dirait m'attendait car c'est lui qui commencera la conversation en disant : - Que fais-tu ici Suzanne ? Je ...

 Nous sommes le 14 janvier 2014. Je sers le petit déjeuner à mon fils et a mon mari.  - Vous êtes en retard, hâtez vous ! Leur dis-je avec empressement. - Oui maman j'ai fini ! Repliqua Gabriel mon garçon. Lorsque j'ai vu qu'ils étaient prêts, je me dirigais vers le dressing pour récupérer le sac à dos de Gabriel. En entrant, j'apperçu le câble de la machine à laver qui présentait un petit problème et je me suis dis que si je le laissais dans cet état, ça pourrait causer un court circuit et déclancher un incendie. Je me suis mise à l'arranger avec précipitation vu que Rémy et Gabriel m'attendaient au salon. En touchant ce câble, j'ai vite remarqué qu'il y avait une grande partie dénudée, alors je cherchais un moyen pour l'isoler. J'ai posé le câble par terre et j'ai mise ma main sur l'étagère qui se situait juste au dessus de la machine à laver pour chercher la toile isolante. J'eus une mauvaise sensation et je sortais pour appeller R...